A Giogiana ...si la révolution d'octobre avait été en mai si tu vivais encore, si je n'étais pas impuissant face à ton assassinat, si ma plume était une arme gagnante, si ma peur explosait sur la place, courage né de la rage étranglée dans la gorge, si t'avoir connue devenait notre force, si les fleurs que nous avons offertes à ta vie courageuse, dans notre mort devenaient des guirlandes de la lutte de nous toutes, femmes, si... ce ne serait pas (...)
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