À la suite des élections municipales, il apparaît plus que jamais que la « gauche de la gauche » piétine. Elle est prise en étau entre l'appareil du PCF qui n'a plus pour orientation que sa seule survie, les rodomontades de Mélenchon trop souvent égotistes, et une gauche post-trotskyste crispée sur des ankyloses identitaires ou des postures velléitaires. Pour l'heure la destruction systématique du mouvement ouvrier et de ses conquêtes passée, la dislocation des repères et (...)
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