Le 22 février, la police mutilait et blessait gravement des dizaines de manifestant-e-s dans les rues de Nantes. Il s'agit aujourd'hui, 1er avril, de continuer cette guerre dans l'enceinte du Tribunal. De continuer à terroriser ceux qui s'opposent à ce monde et à l'aéroport qui va avec. Dès le début d'après-midi, la salle de comparution immédiate du Tribunal de Grande Instance de Nantes est bondée. Des journaliste sont venus se régaler de la répression (...)
↧