L'article 13 de la loi de programmation militaire examinée ce mardi au Sénat inquiète les acteurs du monde du numérique qui dénoncent la possibilité d'une surveillance accrue et non encadrée. Les services de renseignement français, intérieur et extérieur, mais aussi les ministères de l'Economie et du Budget pourront-ils bientôt espionner sur Internet n'importe qui, sans devoir en référer à un juge ? Peut-être si la loi de programmation militaire est votée en (...)