Malgré le "haut degré de confiance" de l'Administration américaine sur la responsabilité du régime syrien sur l'attaque chimique du 21 août, une douzaine d'anciens militaires et responsables du renseignement livrent des éléments qui les amènent à conclure à une toute autre histoire que l'histoire officielle. Nous avons le regret de vous informer que certains de nos anciens collègues nous disent, catégoriquement, que contrairement aux affirmations de votre (...)