Communiqué Lorsque l'ai arrêté ma grève de la faim début avril, ce n'était en aucun cas un renoncement à faire valoir mes droits et mettre le CMB face à ses responsabilités, bien au contraire. Dans cette société où l'on regarde et l'on commente sur les réseaux sociaux mais où, à de rares exceptions (et que ces êtres exceptionnels, qui se reconnaîtront, soient ici remerciés), on ne s'engage pas, mon comité de soutien, mes avocats et moi-même avons compris, et (...)
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