Vendredi 21 juin matin, alors que j'étais à une terrasse de café avec mon fiston derrière la gare de Nîmes, un groupe de quatre latinos me demandent une adresse . En parlant avec eux en espagnol je comprends qu'ils cherchent l'inspection du travail. Deux d'entre eux m'expliquent leur situation : Juan et Carlos. La raison de leur quête : ils font partie d'un certain nombre d'ouvriers agricoles qui viennent d'être licenciés sec par (...)
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