C'est vrai que les chaînes publiques en Grèce n'avaient pas les moyens de faire de la télé réalité, d'acheter massivement des soaps turques, de dégrader l'image, le son et de produire des séries lamentables, une offense de la culture néo ou petite bourgeoise berlusconienne, ou des talk show sublimant le mauvais goût, la grossièreté, les instincts voyeurs les plus bas. Les chaînes privées s'en chargent allégrement. Elle avait fini par devenir une Arte du (...)
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