Lors des élections de 2007, Nicolas Sarkozy a joué la confusion de l'ouverture en essayant d'attirer derrière lui quelques électrons libres du Parti Socialiste ; ce même parti, qui après avoir mené une politique libérale de 1997 à 2002, est maintenant tenté avec François Hollande par le réformisme social-démocrate. L'électorat traditionnel du parti communiste s'est évaporé (où sont donc passés les prolétaires ?), la gauche de la gauche n'en finit pas de se (...)
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