A l'époque de l'euphorie financière, l'Islande était un eldorado du néolibéralisme, le paradis des banquiers. Après la crise systémique les islandais ont eu le déclic. Comme l'a souligné le prix Nobel d'économie Paul Krugman, au lieu de faire payer la crise à la population, l'oligarchie vertueuse du peuple constitué a « laissé les banques faire faillite » et, au lieu d'apaiser les marchés financiers, a « imposé des contrôles temporaires sur les (...)
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