Stéphane Hessel Pas de chichis, il répondait au téléphone lui-même. Lors du Salon anticolonial de 2011, à Paris, dans la grande salle de la Bellevilloise, il avait fait la tournée des stands. Il vint devant mon ouvrage Agent Orange, Apocalypse Viêt Nam, (qu'il avait déjà), me serra la main : « Vous avez bien ma signature ? », s'inquiéta-t-il, sa mémoire devait revoir Saigon des années 1955-56-57 qu'il avait rejoint pour préparer, avec le dernier Commissaire-général (...)