Le conseil des prud'hommes de Compiègne a entamé mardi 26 février l'examen du cas des 680 ex-salariés de Continental qui demandent l'invalidation de leur licenciement pour absence de motif économique – ce que conteste l'entreprise allemande –, ainsi que des dommages et intérêts. Trois ans après, ils espèrent que le fabricant de pneus sera sanctionné pour la fermeture de l'usine de Clairoix dans l'Oise, même s'ils savent qu'ils ne (...)
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