Monsieur le Président, C'est par la volonté d'un président de la République, François Mitterrand, que des militants d'extrême gauche italiens engagés dans la violence politique durant les années 70 ont été accueillis dans notre pays à la condition expresse d'abandonner toute activité illégale. Peut-être n'auriez-vous pas vous-même pris cette décision. Mais le contexte était différent, la « stratégie de la tension » encore vivace, les juristes français souvent (...)
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