Grèves, collectifs, manifestations… Depuis plusieurs mois, des animateurs s'organisent pour dénoncer leurs conditions de travail. Si la crise sanitaire a servi de détonateur, la souffrance et la précarité durent, elles, depuis de longues années. « Je suis animatrice périscolaire en élémentaire et maternelle, ou plutôt devrais-je dire éducatrice, psychologue, médiatrice, infirmière, gendarme ? Tout ça pour 390 € par mois, 430 € quand je fais un gros mois ». (...)
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