Dans le courant des années 1980, le capitalisme français a partiellement fait peau neuve. Sous les effets de la mondialisation, il s'est converti aux règles de gouvernance en vigueur dans les pays anglo-saxons, mais il l'a fait sous bénéfice d'inventaire. Il a ainsi copié toutes les mœurs sulfureuses de rémunérations des mandataires sociaux, induites par ce capitalisme d'actionnaires. Mais il a rejeté la transparence, si chère aux marchés financiers, et est (...)
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