La crise sanitaire actuelle pousse à interroger la régulation capitaliste du monde, par quelque bout qu'on la prenne. La soi-disant « main invisible du marché», selon laquelle les actes de chacun, guidés par son seul intérêt personnel, conduisent au bien commun, apparaît comme une triste fable. En réalité, cette « main invisible » n'est qu'un artifice idéologique qui masque les intérêts d'une classe dominante qui ne cesse d'étendre son emprise sur le monde, (...)
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