Les annonces macabres du DRH seraient glaçantes si elles n'étaient attiédies par le sirop médiocre d'un script de série B servi par le talent douteux d'un comédien de seconde zone. Il manquait les violons, ceux qui habillent les dialogues indigents des telenovelas les plus sentimentalistes du marché. Pour écouter / télécharger l'émission en MP3, cliquez sur le lien : https://www.campuslille.com/index.p... Les eaux froides de ses calculs égoïstes sinuent dessous un (...)
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