À six ans, Georges E. Sioui, enfant dans une réserve indienne, reçut sa première leçon d'histoire du Canada et apprit que ses ancêtres étaient des sauvages qui menaient une existence d'idolâtrie, de vol, de mensonge et de cannibalisme, dont eut pitié le Roi de France. Il devint historien, souhaitant contribuer à défaire deux idées reçues : la croyance en la supériorité de la culture et de la moralité européenne qu'il nomme « mythe de l'évolution », ainsi que le « (...)
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