J'apprends avec stupéfaction qu'un marcheur isolé a succombé. J'apprends qu'il a fallu des hélicoptères pour le retrouver. J'apprends, avec stupeur, que la vie est risquée. Je savais déjà que ma cigarette tue, et d'ailleurs elle est assez maladroite, depuis le temps que de la sort de son étui, j'étais une cible facile. Déjà, dans le métro parisien, je savais que je risquais de me pincer très fort si je mettais mes doigts dans la porte au moment (...)