Personne ne peut le nier, le mouvement des Gilets Jaunes (GJ) marque le pas. Un bref coup d'œil et on voit vite qu'il a perdu pas mal de ses troupes et, en général, la partie qui constituait son cœur social, c'est-à-dire les plus pauvres et les moins politisés. Ce qui en faisait, malgré tout, les plus combatifs car ils avaient tout à gagner. Leur impatience ; une issue positive qui s'éloignait ; des guerres de chefs ; la peur de la répression ; la (...)
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