Ce ne sont pas les mots d'un obscur dictateur à l'autre bout du monde. C'est ce que déclare tranquillement, dimanche 2 juin Laurent Nuñez, bras droit de Castaner. L'homme à la tête du ministère de l'intérieur. Le même Nuñez ajoute, à propos des violences policières inouïes qui se sont abattues sur des dizaines de milliers de manifestants ces derniers mois : « pas de regrets », « pas d'excuses », « pas de mauvaises tactiques ». Il déclare aussi « il est (...)
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