Pierre Madelin désigne le capitalisme « comme l'ennemi à abattre » puis se propose d'examiner les « possibilités « révolutionnaires » (au sens politique du terme) du présent », différentes stratégies et scénarios. Il prévient d'emblée : « toute réflexion politique se voulant radicale mais ignorant la question écologique se condamne au ridicule, et toute écologie politique réformiste ou « environnementaliste » qui se limiterait, par exemple, à mettre en place des politiques (...)
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