En 2014, Eric Piolle prenait la mairie à la tête d'une coalition Europe écologie les verts (EELV)-Parti de gauche, en embarquant une vingtaine de militants issus des mouvements sociaux et citoyens. Quatre ans plus tard, l'amertume et les tensions entre une partie du mouvement social grenoblois et l'équipe municipale apparaissent au grand jour pendant « l'université d'été solidaire et rebelle des mouvements sociaux et citoyens ». «À croire que je suis le maire (...)
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