Vincent Brengarth, avocat au barreau de Paris, dénonce dans cette tribune une logique d'État qui privatise l'usage de la violence à son profit. La violence politique, qu'elle soit employée comme mode d'expression contestataire, ou en tant que conséquence de mouvements socio-syndicaux, n'est pas nouvelle. Elle pourrait tenir sa justification par une volonté de rééquilibrage étatique du rapport de force asymétrique entre le pouvoir institutionnel et, le plus (...)
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