La forte présence des islamistes et des étrangers a été confirmée par le médecin français Jacques Bérès, le cofondateur de Médecin sans frontière, qui a passé deux semaines à Alep, sous prétexte de vouloir y soigner les blessés des combats. Cet homme de 71 ans, remarque non sans agacement qu'une grande partie des blessés miliciens qu'il a soignés sont « des fondamentalistes et des djihadistes, qui s'intéressent surtout à l'établissement d'un régime islamistes (...)
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