Caracas 10 janvier 2013 : une image invisible dans les médias occidentaux. Isidro López est un jeune au visage creusé par le soleil et par l'adversité, avec un air de vieux sage. Pour ce paysan venu du Paraguay et qui fend la foule en portant son « mate » (thé) à la main, « le peuple vénézuélien descend dans la rue pour défendre sa révolution ». Puis, rapidement, d'une voix douce : « parce que ce n'est pas sa révolution ; c'est la révolution du continent « . Il y a (...)
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