La « justice » ne lambine pas en France, surtout en période électorale et en pleine hystérie sécuritaire. Il convenait donc de faire un exemple avec Jean-Marc Rouillan, condamné en première instance à huit mois ferme pour apologie du terrorisme et à quelque 9000 euros de dédommagement des « victimes » de son « apologie du terrorisme ». Mais ce n'était pas encore suffisant : dans le procès en appel organisé dans la précipitation par l'Etat pour que ça coïncide avec (...)
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