Nul n'est jamais contraint à se complaire d'un rien tout condamne à jamais les affres des fatalistes qui tel des corbeaux freux se vêtissent tout de noir poussant allègrement leurs croassements affreux ou les choucas des tours, dont les yeux suspicieux guettent chaque mouvement de leurs iris blancs pour prendre position, tout de go, ravalant les cris de leurs gosiers arborant nuque bien grise, criant allègrement sans jamais croasser mais n'ayant pas plus de chant (...)
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