Parmi les témoignages rassemblés par le collectif "Stop violences policières", celui d'Arthur, un lycéen parisien. Le 9 avril, il a eu le nez cassé par un tir de flashball. Sur le visage, il n'en garde qu'une petite cicatrice. Ce 9 avril en fin d'après-midi, Arthur, 16 ans, n'est pourtant pas beau à voir quand il arrive aux urgences. Le nez fracturé, probablement par un tir de flashball, dont il a plus ressenti le choc que la (...)
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