Les dirigeants européens ont été contraints de se démarquer de leur allié, le dictateur turc Recep Tayyip Erdogan, quand celui-ci a annoncé son intention de rétablir la peine de mort qui, disent-ils, est « contraire aux valeurs des pays membres de l'Union Européenne ». La peine de mort a, en effet, été abolie – plus ou moins récemment- dans les pays en question. C'est assurément un énorme progrès qu'y ait été admise l'idée que rien ne peut justifier cette (...)
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