C'est un texte qui est arrivé sur la boîte mail de la rédaction, de façon anonyme. Son auteur revient sur la manifestation agitée du 22 février à Nantes en soutien à Notre-Dame-des-Landes. Lui était parmi celles et ceux que les médias et le pouvoir nomment « casseurs ». Cette étiquette, il la retourne, la revendique. À lui la place. En rentrant de Nantes, je pensais ne rien écrire. Je me disais que ce n'était pas nécessaire. Que l'essentiel avait été de vivre cette (...)