Il y a trois ans, le 10 janvier 2013, les médias français et libanais annonçaient que la justice française acceptait la demande de libération de Georges Ibrahim Abdallah. Aujourd'hui ce camarade de la cause palestinienne est toujours emprisonné. Avant même la promulgation de l'état d'urgence de 2015, des juges en janvier 2013 se soumettaient à la police politique de la république française. La Croix - 10/1/2013 : « La chambre d'application des peines de Paris, qui (...)