La mise en œuvre de l'état d'urgence dans les départements et collectivités d'outre-mer et son prolongement de trois mois peuvent constituer des atteintes potentielles aux libertés publiques et individuelles. La Ligue des droits de l'Homme considère que les mesures exceptionnelles qui s'appliquent dans cette période ne peuvent être que temporaires et strictement proportionnelles à une évaluation adéquate des risques. Au-delà des motifs de prévention et (...)
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