On a pu lire récemment dans la presse que, lors de l'affaire de faux espionnage qui a secoué l'entreprise Renault en 2011 et qui a valu à trois de ses cadres d'être accusés à tort et ignominieusement chassés, la direction de l'entreprise avait envisagé l'éventualité que ses trois collaborateurs soient conduits à un acte désespéré, et plus précisément à un suicide, par les sanctions extrêmes qu'elle avait décidé de leur infliger. Dans cette perspective (...)
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