La presse bourgeoisie s'en est donnéà cœur joie. Aucun titre n'a été en reste pour moquer la crise de succession à la tête de la CGT. A travers l'affaire Thibault-Lepaon, les journalistes n'ont pas perdu une occasion pour tourner en dérision et en ridicule dans leur ensemble les militants syndicalistes et les travailleurs syndiqués qui, eux, luttent réellement pour les intérêts de leur classe. Complètement dépossédée du débat et de la désignation du nouveau (...)
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