« Au commencement, il y a l'injure », disait Didier Eribon. Ce sont des scènes qui pourraient avoir lieu n'importe où en France ou au Brésil : une fonctionnaire dénonce qu'elle se fait traiter de « gouine » tous les jours par ses chefs, un autre est exclu des réunions de service parce que homosexuel, une autre salariée est mise à l'écart des autres par ses chefs parce que lesbienne. Sauf que cette fois-ci c'était l'injure de trop : les salarié-e-s de (...)
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