Histoire de ma terre en pleurs Mais les choses ici prennent une telle ampleur Les fils partent avant les pères, y a trop de mères en sueur Quand les fusils de la bêtise chantent le même air en cœur Le mangeur d'âme à chaque repas s'abreuve de nos rancœurs Je l'entends toutes les nuits, las des fantômes qui la hantent, las de leurs complaintes, Tellement que des fois elle en tremble Par le sang de la haine, constamment ensemencée, (...)
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